DOSSIER : Trois regards critiques

Élie Faure : l’œil véhément

par Jean Lacouture  Du même auteur

Retenons d’abord de lui cet aveu : « Je suis un œil. Voir, tout est là. Voir [...]. Je voyais fort vite d’ailleurs... »

De Malraux, qui n’est pas ici un intrus, on le sait – et qui « voyait » très vite lui aussi –, Régis Debray écrit qu’« il pense avec l’œil ». (...)

Plan de l'article
  • La politique et l’art
  • De Lamarck à Chaplin
  • La critique de construction
  • Vers une civilisation symphonique
  • L’oubli

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