Obama et les minorités raciales : le grand désenchantement |
La médiocrité loufoque des candidats républicains à l’investiture du Grand Old Party (gop) semble assurer le Président sortant d’une réélection tranquille en 2012. Mais la démocratie américaine chancelante, hystérisée par la crise et la victoire des conservateurs aux mid-terms doit garder de toute prédiction satisfaite. Car la satisfaction (...)
Plan de l'article
- Les ravages sociaux à deux vitesses de la crise
- Une politique présidentielle indifférente à la race ou à la classe ?
- Des critiques de plus en plus radicales chez les Noirs
- Des Latinos ménagés mais aigris
- Le dilemme des minorités en 2012, courtisées par le gop
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