Quelques jours en mars

par Jean-François Sirinelli  Du même auteur

L’historien, on le sait, travaille sur des temporalités entremêlées. Les faits qu’il étudie sont toujours le fruit de telles temporalités multiples, les analyses qu’il développe à leur propos ne prennent réellement un sens que si elles intègrent ces jeux d’échelles chronologiques, et les effets induits par ces faits dûment recensés ne sont eux-mêmes compréhensibles que replacés, (...)