DOSSIER : Les Bienveillantes de Jonathan Littell Les Bienveillantes et les classiques russes |
Ce livre vous prend à la gorge, à la tête, aux tripes, son écriture vous emporte comme une houle énorme ; depuis longtemps la langue française n’avait reçu cargaison aussi lourde, aussi troublante. Le livre semble écrit d’une traite, sans esquisse, sans brouillon, sans échafaudage ni « repentir », poussé par une énorme vague pulsionnelle, une vague arrêtée sur image, (...)
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- Jonathan Littell, « Conversation sur l'histoire et le roman », p. 25-44
- Florence Mercier-Leca, « Les Bienveillantes et la tragédie grecque », p. 45-55
- Daniel Bougnoux, « Max Aue, personnage de roman », p. 66-69
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