DOSSIER : Les Bienveillantes de Jonathan Littell

Les Bienveillantes et les classiques russes

par Georges Nivat  Du même auteur

Ce livre vous prend à la gorge, à la tête, aux tripes, son écriture vous emporte comme une houle énorme ; depuis longtemps la langue française n’avait reçu cargaison aussi lourde, aussi troublante. Le livre semble écrit d’une traite, sans esquisse, sans brouillon, sans échafaudage ni « repentir », poussé par une énorme vague pulsionnelle, une vague arrêtée sur image, (...)

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