DOSSIER : Trois regards critiques Élie Faure : l’œil véhément |
Retenons d’abord de lui cet aveu : « Je suis un œil. Voir, tout est là. Voir [...]. Je voyais fort vite d’ailleurs... »
De Malraux, qui n’est pas ici un intrus, on le sait – et qui « voyait » très vite lui aussi –, Régis Debray écrit qu’« il pense avec l’œil ». (...)
Plan de l'article- La politique et l’art
- De Lamarck à Chaplin
- La critique de construction
- Vers une civilisation symphonique
- L’oubli
Mots-clés :
Autres articles du dossier Trois regards critiques
- Jean Lacouture, « Présentation », p. 32-32
- Antoine Compagnon, « Thibaudet, le dernier critique heureux », p. 33-54
- Albert Thibaudet, « Pour l'histoire du Parti intellectuel », p. 55-60
- Élie Faure, « Lamarck », p. 72-75
- Françoise Cachin, « André Fermigier, la bonne et la mauvaise peinture », p. 76-83
- André Fermigier, « Bonnard et Picasso, fortune critique », p. 84-92
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